mardi 24 février 2015

Secret pas si bien gardé!

Très bien dormi la nuit dernière.  Les maringouins nous ont laissé tranquille un peu hier soir.  Ça fait du bien.  Nous étions couché assez tôt car, en plus de la désertion des maringouins, notre accès internet a fait la même chose.  Donc, après Tout le monde en parle, ça a été dodo.

Quel beau réveil - à cette heure matinale, le soleil n'est pas trop présent et le matin est frais - autour de 17-18 degrés.  Mais quand même, on ne critique pas.

Tranquillité du matin le 23 février
Autobus pour Destiladeras (13 pesos pour s'y rendre et il nous en coûtera 12 pour revenir - allez savoir pourquoi!)  Quelques kilomètres après Puerto La Cruz.  Le chauffeur stoppe en bordure de route - c'est indiqué Nahui.   Il n'y a qu'une allée en terre et on doit ensuite traverser la route.  Il faut être très prudent - c'est une route assez passante, ça roule vite et on doit s'assurer qu'aucune voiture ne vient ni d'un côté ni de l'autre.



Voilà la vue de la mer - une mer sans rouleaux, sans moutons, pas une mer d'huile, mais pas loin.  Une excursion à Destiladeras - cette plage dont tout le monde parle et dont tout le monde raffole.  Et je les comprends - quelques 40 marches à descendre et nous découvrons un secret bien gardé (pas sûr, pas sûr)  mais une plage avec un sable fin et doux.  J'ai l'impression de marcher sur de la soie. 


La plage de Disteladeras vue du haut du stationnement

On s'installe à une table, on commande quelques bières - hé bien, il faut payer pour la location du parasol, de la table et des chaises (150 pesos) - on nous avait dit que si on prenait une consommation, on ne nous chargerait pas.  Ça doit être ailleurs.  Maintenant que nous avons nos bières, et que nous sommes bien installés, il faut bien s'y tremper les pieds dans cette eau.

Ici, on vend des fruits, des boissons aux fruits,
on loue des planches et des chaises

Derrière, c'est le "bar" et à la droite un
petit restaurant de mets variés

Œuvre d'art? Non, coin de parasol

Nous avons trouvé les toilettes.  Mais jamais les clés!

On se croirait sur une plage des Caraïbes - le sable est blanc, je me répète il est doux, et on voit le fond de l'eau.  Ce n'est pas vraiment creux, sans crevasses, on marche sans crainte de piétiner quelque chose et les quelques vagues qui nous frôlent le font avec douceur.  Il n'y a aucune violence dans cette eau.  Magnifique - nous sommes retournés à l'eau plusieurs fois pour nous laisser balancer au gré des vagues sur cette mer douce.  Un ravissement pour moi qui n'aime pas vraiment l'eau surtout quand je ne vois pas où je mets les pieds.

Tout le monde connaît l'endroit c'est certain, mais un lundi c'est probablement plus calme que le week-end où ça doit être bondé.

Journée de solitude

Qu'est-ce qu'on attend?

Des huîtres à préparer

Nous avons mangé un quesadilla, petite collation faite d'un tortilla, de crevettes et de fromage fondu, qu'on nous a servi avec un petit peu de salade et une tranche de tomate - avec une boule de riz.  Première fois que je me permets de manger d'un resto de plage et je n'ai pas été malade.   La prochaine fois par contre, on se préparera un petit pique-nique.  Non pas que ce n'était pas bon, mais je ne veux pas prendre trop de chance!!!



Sur le haut d'un rocher, devant une villa,
la barque veille
On dirait bien un œil dans le roc
Que c'est beau
Que c'est beau
Tout est beau

Un pêcheur et son attirail - que ça a l'air lourd tout ça 




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