samedi 10 janvier 2015

OUF! 9 janvier 2015 - Quelle journée - no 2

Nous traversons la sécurité et ensuite, je disais déjeuner, on envoie des courriels pour informer nos proches.  Nous nous rendons à la porte 1 juste à temps pour le début de l'embarquement.

Nous avons des sièges dans l'avant-dernière rangée et je peux voir nos valises être montées dans l'avion.  Je suis passée près d'un pilote qui se déplace à Toronto et au cellulaire je l'entends dire:  "C'est certain, nous serons en retard, il est déjà 6 h 00 et il nous faire passer par le déglaçage".  Zut, me dis-je.  Nous n'avons que 45 minutes pour nous rendre à notre porte en arrivant.  Une petite chaleur.  Une parmi d'autres de la journée.  Le départ de la porte se fait avec un bon 10 minutes de retard sans compter le 15 minutes au déglaçage  Enfin décollage.

Au départ, ça brasse un peu beaucoup.  Turbulence = silence des passagers et en plus, chaleurs pour mamie Andrée (encore).  Nous devrions être en temps pour rencontrer notre connexion.

Je pense que notre pilote essaie de rattraper le temps perdu au sol ;-).  Nous arrivons à la porte avec cinq minutes de retard seulement.  Pas de bagages à récupérer.  Il faut trouver à quelle porte nous devons nous rendre maintenant.  Naturellement, comme c'est un vol international, ça sera la dernière porte à l'autre bout de l'aéroport.   Au moins 5-6 tapis roulants rapides, nous marchons d'un bon pas, nous ne voulons surtout pas rater le coche!!!  Je ne veux pas raconter n'importe quoi, mais je pense que c'était la porte 79 quand il y en a 81 du côté des vols internationaux.  C'était loin en tout cas, et j'avais chaud en arrivant. (chaleurs)

Ici aussi, l'embarquement commence dès que nous approchons.  Donc, pas le temps de communiquer avec qui que ce soit.  De plus, l'avion est archi plein, Michel et moi sommes assis dans des allées différentes et tous les 2 coincés dans les sièges du centre - 24 et 28E.  Pour la plupart, des mexicains qui retournent à la maison après des vacances au Québec ou d'autres qui partent en vacances chez eux.  Des familles entières.  Et ils ne voyagent pas léger - je pense qu'ils ne font pas confiance aux transporteurs parce qu'ils ont à peu près tous une valise de la grandeur autorisée en cabine.  Bien sûr des canadiens qui s'en vont en vacances.  L'avion est vraiment rempli à capacité.

Séance de déglaçage ici aussi.  Et c'est un départ.  Encore une fois, turbulences pour quelques minutes - dès que nous avons traversé la zone de nuages, ça se calme.  Enfin!  Ce n'est pas trop mon fort.  (Chaleurs)

Quelle surprise - une agente de bord vient me voir pour me dire que j'ai droit à une petite collation de 10 $ choisie dans le menu de bord.  Et Michel aussi.  C'est là que je réalise que pour se faire "excuser" la grosse bourde du matin, les gens de United Airlines ne nous ont pas fait payer pour les bagages (25$ US par valise enregistrée) et en plus nous offrent une collation.  Tant mieux parce que normalement je nous prépare des sandwichs pour voyager - ce que je n'ai pas fait cette fois-ci parce que nous devions traverser les douanes américaines et ils sont un peu tatillon quand il s'agit d'apporter de la nourriture aux États-Unis d'Amérique (blog du 19 mars 2013 - http://sous-le-soleil-de-nuevo-vallarta.blogspot.mx/search?updated-max=2013-04-22T17:06:00-07:00&max-results=7).

Ça ne fait rien, je n'oublie pas cette bévue de United!!

Le vol se déroule bien.  Je me choisis un petit film tranquille, j'écoute un peu de musique, je mange  la collation gracieusement offerte et je n'ai pas à me plaindre du wrap au poulet que j'ai choisi.  J'essaie de lire, d'écrire, préparer ma liste d'achats à l'épicerie.  Fatiguée, je somnole un peu.

On nous annonce que nous atterrirons à Mexico dans environ 45 minutes.  Dernier tour à la toilette, on rapaille toutes nos choses, et on attend.  Les jeunes enfants derrière moi ressentent beaucoup la douleur de la descente - ça pleure en masse (chaleurs).

Une autre escale.  Ici, il faut premièrement passer les douanes et remettre les visas d'entrée au Mexique que nous devons faire estampiller et reprendre (et surtout ne pas perdre).  Ensuite, récupérer les valises sur le convoyeur, passer à l'immigration et leur remettre le document complété dans l'avion.  Appuyer sur le bouton pour savoir si nous serons fouillés ou non pour entrer au Mexique.  Encore chanceux, la lumière est verte.

Et c'est pas fini.






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