Une fois dans le train, qui est un peu un petit métro aérien avec 2 wagons si ma mémoire est bonne, un mexicain me dit que ça prend 2 minutes pour nous rendre au terminal 2. Mais ça ce sont des minutes mexicaines. Je dirais environ 5 minutes. Et ensuite une autre course folle avec nos valises pour obtenir nos cartes d'embarquement. Porte K, non pas là. On nous envoie porte L plutôt - une préposée nous explique qu'il faut utiliser les bornes pour imprimer les cartes. Michel surveille les valises pendant que j'attend pour une borne libre. Après, il faut aller porter les bagages au dépôt (attente encore) et marcher jusqu'à la porte 57. Mais avant, il faut traverser le contrôle de sécurité.
J'y suis la première mais vraiment empêtrée dans tout ce que j'ai autour du cou - chaîne de lunettes, écouteurs et Ipod, bandoulière du sac d'ordinateur et mon sac à dos. Il faut enlever les choses dans les sens inverse qu'on les y a mises. Mais je n'y pense pas vraiment et là tout veut venir en même temps. J'ai vraiment l'air empotée! Tout est pris et je dois quasiment me mettre à genoux pour démêler tout ça. Je vois bien les employés ont le fou rire. Je sens dès ce moment qu'on va probablement se moquer. L'ordinateur dans le panier, le sac, le Ipod, les lunettes dans un autre et le sac à dos. La petite veste que j'ai nouée autour de ma taille. No, senora el cinturon. Enlevez la ceinture. Je demande s'il faut enlever les souliers - no no. Je passe le portique OK mais on me demande si j'ai une caméra qu'il faut aussi retirer du sac!!! Et aussi les produits liquides - crème à mains et gel pour les lèvres.
Ensuite le tour de Michel. Et là mes amis, c'est la partie la plus drôle. Il retire son ordinateur du sac et sa tablette. Il oublie son cellulaire, son portefeuille. Quand il passe le portique de détection, l'alarme se déclenche. Alors on le passe au détecteur portatif. Alarme, oups le cellulaire. Alarme, oups Ipod. Alarme, oups portefeuille. Alarme, oups crayons. Alarme, oups quoi encore. La ceinture. À la fin, les poches étaient vides et l'alarme se déclenchait toujours - pas possible, l'employé a dû le mettre au plus sensible. Même qu'à la fin, il y a un superviseur "sans sourire" qui est venu et il ne trouvait pas ça drôle du tout.
Finalement, on le laisse ramasser toutes ses choses.
Une autre marche rapide pour nous rendre à la porte 57.
Aéroport de Mexico - dans l'attente de notre vol vers Puerto Vallarta - porte 57 |
Le premier coucher de soleil que nous avons vu cette année |
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